Ouvéa
Après le nord de la Grande Terre, départ pour les îles Loyauté. La première, Ouvéa.
Déserte à ce moment de l'année.
Pour une fois, je ne photoshoperai pas ! la couleur est bien celle-ci ...

Ouvéa est bordée à l'ouest par un large lagon et une plage de 25 km de long. L'atoll est constitué de deux parties, une au sud et l'autre au nord, jointes par un isthme étroit. Le sud de l'île principale, Lekiny est aujourd'hui relié par un pont à l'île de Mouli. L'île est souvent présentée comme l'un des plus beaux atolls du Pacifique. Elle est surnommée (concurremment avec l'île des Pins) l'« île la plus proche du Paradis », reprenant le titre d'un ouvrage paru sur Ouvéa dans les années 1970 par la Japonaise Katsura Morimura.


Rencontré en marchant, Pierre me fait visiter sa case, me propose un café et des blouses à 1500 francs les deux...

Sa femme est à Nouméa avec une partie des enfants. Un autre est en France. Lui a préféré revenir à Lékiny. Il s'occupe de nettoyer la partie sud de l'île.

Sur Ouvéa les habitations sont traditionnelles et parfaitement entretenues.

Son coin de pêche et d'exercices physiques (on a le même âge)
Tour de l'île en auto : on démarre par le trou bleu d'Hanawa, un trou d'eau alimenté en eau de mer par des fissures souterraines.

Puis le trou à tortues, la piscine d'une tribu où les enfants plongent depuis la falaise.
Passage devant la belle clôture d'une chefferie.






Ici, l'église catholique est souvent jumelée avec un temple protestant voisin.

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